Physique quantique, synchronicités et développement personnel : comment votre pensée crée votre réalité

On ne peut voir que ce qui est éclairé.
© www.voiesymbolique.net - Cluny (FR) - août 2023.

Pourquoi et comment votre pensée crée votre réalité ? Ce texte explore le lien entre la physique quantique et le développement personnel, mettant en lumière le rôle de la perception individuelle dans la création de la réalité. Il souligne l'importance de la synchronicité et invite à une réflexion sur la responsabilité personnelle dans le processus de co-création de la réalité.

Tout part de soi et tout revient à soi.

En physique quantique : l’observation du phénomène modifie le phénomène. L’observation influe sur le système observé. L’observateur influe sur la réalité : l’observateur crée, en quelque sorte, une réalité.
De manière similaire, nos pensées influent sur notre environnement au quotidien. Nous sommes les créateurs de notre réalité.
L'environnement n'existe pas en lui-même. Il n'en existe que ce que nous en percevons. Puisque percevoir est une action.

Ainsi, si je pense à quelque chose, je crée un environnement cohérent avec cette pensée.
Si je suis constamment enfermé dans cette pensée, mon environnement sera invariablement, indéfiniment le reflet de cette dernière. C’est en cela que beaucoup de personnes se disent “bloquées”, comme face à un mur.
Cependant, le jour où je parviens à envisager autre chose, je crée un nouvel environnement en cohérence avec cette nouvelle perspective. C'est un changement, une sortie de tunnel.

Comme le disait Gandhi, Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde. Cette affirmation trouve écho dans les principes de la physique quantique.
De même, la synchronicité repose sur un processus similaire.

Ce que nous vivons et ressentons à l'intérieur se reflète dans notre réalité extérieure, jusqu'à ce que des événements, des mots ou des situations cohérents avec nos vibrations intérieures se manifestent. Chacun est co-créateur de ces synchronicités, bien que beaucoup perçoivent à tort ces événements comme des signes extérieurs.

Tout part de soi et tout revient à soi.
Chacun est responsable de la réalité qu'il.elle crée. Si cette réalité ne convient pas, il incombe à chacun d'explorer en profondeur son être pour identifier les dysfonctionnements.

Voici un exemple simple et volontairement simpliste pour illustrer le propos.
J'ai été mordu par un chien.
J'en ai terriblement souffert.
Du coup, je ne veux plus jamais voir un chien de ma vie.
Du coup (bis), j'en déduis qu'il y a de fortes chances que tous les chiens soient méchants.
Conclusion : face à la possibilité de type "chien" : je n'ai plus de libre-arbitre. L'option "chien" n'est plus possible. Je suis coupé.e de l'option "chien" (*).
Mais il y a encore au fond de moi cette peur, cette rage et cette colère en lien avec les chiens.
Au fond de moi, je vibre l'horreur et la hantise des chiens.
Cette énergie tapie au fond de moi - aussi selon les principes de la loi de l’attraction - va générer un contexte extérieur cohérent avec ce que je vis à l’intérieur. Ma réalité intérieure co-crée un contexte extérieur.
Cette aversion intérieure attire à moi la présence de chiens. 
Non pas parce que je suis maudit.e.
C'est juste la Vie qui me demande de faire le travail vis-à-vis des chiens afin que l'option "chien" redevienne possible.

Et plus le nombre d'options avec lesquelles je fais la paix s'agrandit : et plus je suis à nouveau libre face à toutes ses options, plus tout redevient possible.
Plus j'apprends à accepter et à pacifier mes différentes options, plus je retrouve ma liberté face à celles-ci, et plus toutes les possibilités redeviennent accessibles.
C’est le cadeau qu’offre un travail en constellation familiale et systémique.

Naturellement, l’exemple fonctionne également avec les mémoires transgénérationnelles.
Un ancêtre a été mordu par un chien.
Je porte inconsciemment la mémoire de cet ancêtre en moi.
Avec pour conséquence : de manière irrationnelle - je perds mes moyens chaque fois que je croise un chien.
Face à l’option “chien” : je n’ai plus de libre-arbitre, je n’ai plus de choix dans mes actions, c’est le rejet, l’impossibilité totale.

(*) remplace “chien” par ce que tu veux : un compagnon idéal, la confiance en soi, être en paix avec mes parents, etc.

Texte tout à fait personnel rédigé sans IA qui n’engage que moi. Ceci est - comme toujours et pour tous mes postes - juste une proposition que tu es libre de prendre en tout ou en partie. Prends seulement ce qui te parle et laisse le reste là.


De tout Coeur,


Axel Trinh Cong [Facebook - Google]