Et si nos blessures collectives n’étaient que la voix des morts qui n’ont pas encore trouvé la paix ?
Apaiser les défunts, c’est restaurer la circulation du souffle entre les rives et redonner au monde vivant la possibilité de respirer pleinement. Témoignage d’un médium thérapeute en constellations familiales (certifié COFASY - 2016).
Le reflet de l’arbre dans l’eau : est-ce aussi l’arbre?... ou est-ce seulement la rivière?
Ou commence et finit l’arbre?
Ou commence et finit la rivière?
Dans l’inconscient collectif : le bien est associé à la lumière, tandis que le mal est identifié à l’ombre. A l’approche de du solstice d’hiver, là où la nuit se fait la plus longue et le jour le plus court, la Nature nous plonge au coeur des ténèbres. A quoi l’Intelligence du Vivant nous convie-t-elle? Et si le bien et le mal n’existaient pas?
Lire la suiteLe mental tue la magie.
Le mental tue le mystère.
Le mental tue la spiritualité.
C’est tout l’inverse de la spiritualité.
Mais à quoi correspond, comment définir la spiritualité?
Les choses tirent leur existence et leur nature d’une mutuelle dépendance et ne sont rien en elles-mêmes. 
Rien n’est beau par lui-même. C’est une des leçons de l’égo : accueillir le fait qu’il n’est rien sans les autres, malgré son envie de pouvoir tout contrôler et définir à sa mesure. 
Si la Nature n’est que changement, c’est plus rarement le cas pour les Hommes qui lui préfère le statut quo. Il y a en effet cette partie de l’âme humaine incarnée et que nous appelons l’égo qui a la (fâcheuse) tendance à ne pas vouloir changer, à vouloir rester dans sa zone de confort, avec ses préjugés, ses croyances, ses principes qu’il imagine - et surtout désire immuables - prêt à se cabrer face à toute forme d’ouverture susceptible de perturber son petit système intérieur. C’est en cela que parfois la Nature humaine est contre-Nature. 
Si tu observes la nature, tu remarques que tout est changement, transformation et transmutation. L’Univers tout entier est en perpétuel mouvement.
Or, si cela est vrai pour la Nature : c’est plus rarement le cas pour les Hommes qui préfère le statut quo et que nous appelons l’égo, cette partie de l’âme humaine incarnée et qui a la (fâcheuse) tendance à ne pas vouloir changer, à vouloir rester avec ses préjugés, ses croyances, ses principes qu’il imagine et désire immuables. C’est en cela que parfois la Nature humaine est contre-Nature.
En entrant dans l'automne, la Nature vient de changer de rythme.
Comment en tirer le meilleur parti?